Une recette qui semble satisfaire tout le monde.
Ce n’est un secret pour personne : l’AstraZeneca toujours boudé, la France a pris du retard dans sa campagne de vaccination du personnel hospitalier. Face à cette crise, nos dirigeants ont décidé de réagir de la plus belle des manières, comme ils en ont l’habitude depuis le début de l’épidémie : « Nous ce que l’on veut, c’est prendre soin des gens qui sont en première ligne. Les applaudissements ont bien protégé nos soignants lors du premier confinement, alors on a mandaté l’institut Pasteur pour qu’il trouve un procédé pour pouvoir les injecter » a déclaré Olivier Véran ce matin au micro de RTL.
Les premiers résultats sont bien au-delà des espérances « C’est fou depuis qu’ils m’ont injecté ces applaudissements, je suis immunisée contre le virus, mon salaire a augmenté, mes conditions de travail se sont améliorées. Il n’y a vraiment plus besoin d’investir dans l’hôpital public », témoigne Nadine, infirmière au CHU de Marseille qui enchaîne sa 25ème garde en l’espace de 24 heures.
Malgré des résultats plus que probants, certains semblent éprouver une nostalgie du premier confinement « Je préférais le côté live plutôt que l’injection. Ça me manque un peu les applaudissements de cette bourgeoise de droite qui pestait contre la dégradation de l’hôpital public mais qui refusait de payer l’ISF. Ça me donnait vraiment l’énergie nécessaire pour me lever tous les matins » déclare Patrick lui aussi infirmier.
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